Sonntag, 2. Juni 2019
Tag 7 - Jour 7
Nach dem Rausch (Flow) kommt oft der Kater. So war es heute bei mir. Eigentlich hatte ich mich seelisch auf einen gemütlichen Ritt entlang des Genfer-See-Ufers mit so gut wie keinen Höhenmetern eingestellt.

Leider kam es doch irgendwie völlig anders.

Erst dauerte es einen Moment, bis wir herausgekriegt hatten, dass wir nicht mehr den 5er wie gestern, sondern den 1er nehmen mussten. Das lag übrigens nicht an Georgs Track-Vorbereitung, sondern daran, dass wir dessen optimale Route verlassen hatten, mit der wir Lausanne weiträumig umgangen hätten. Vielmehr hatten wir beim Abfahren den Ehrgeiz entwickelt, uns Lausanne anzusehen. Deswegen hielten wir uns eher nördlich. Aber irgendwann resignierten wir und fuhren doch ab Richtung See.

Après la frénésie (flow) vient souvent la gueule de bois. Ça ma toucher le matin. En fait, j’avais ajusté émotionnellement à un voyage tranquillement le long du lac Léman avec presque aucun mètres d’altitude.
Malheureusement, les choses en quelque sorte tournent complètement différemment.
Il ne nous a fallu un moment pour sortir que nous n’avons plus eu à prendre la route numéro 5 comme hier, mais la route numéro 1. En passant, ce n’était pas à cause de la préparation de l´étape par George, mais parce que nous avions quitté son itinéraire optimal, avec lequel nous aurions circuler vaste Lausanne. Au contraire, lorsque nous partons, nous avions développé une ambition de voir Lausanne. C’est pour ça qu’on est restés au nord. Mais à un moment donné, nous avons démissionné et conduit vers le lac.





Nach der fotografischen See-Begrüßung dauerte es noch etwas, bis wir herausgefunden hatten, dass wir heute den Einer nehmen mussten., Diese Radroute war aber auch die allererste in der Schweiz, die nicht meine ungeteilte Zustimmung fand. Denn sie verlief nicht - wie erhofft - am Seeufer. Das ist nämlich fast komplett für Radfahrer verboten und nur für Fußgänger erlaubt. Außerdem feiert hier - nicht verwunderlich in der Schweiz - das Privateigentum Triumphe, denn das Seeufer ist fast völlig in der Hand privater Villenbesitzer und dem Normalsterblichen und Normalradfahrer weitgehend verschlossen.

Dazu kommt, dass die nähere Landschaft überhaupt nicht so schön und begeisternd war wie an den Tagen vorher. Schöne alte Ortschaften haben wir wenig bis überhaupt nicht gesehen, eher Autobahnen, Schnellstraßen und Industrieanlagen. Erst im letzten Teil der Route hat sich das zum Positiven verändert.

Après avoir dit « Bonjour » au lac en faisant une photo, il a pris en peu de temps de savoir que nous devions prendre la route cyclable Nr 1. Cette route cyclable a également été la première en Suisse qui n’a pas rencontré mon approbation indivise. Parce qu’il n’est pas allé - comme espéré – au bord du lac. C’est presque totalement interdit pour les cyclistes et seulement autorisé pour les piétons. En outre, la propriété privée célèbre les triomphes ici - sans surprise en Suisse - parce que le lac est presque entièrement dans les mains des propriétaires de Villas privée et fermé pour le cycliste normal et madame et monsieur Tout-le-monde.

En plus, le paysage plus étroit n’était pas aussi beau et inspirant que cela des jours avant. Nous avons vu peu à pas du tout de beaux villages vieux, plutôt des autoroutes, des voies rapides et des installations industrielles. Ce n’est que dans la dernière partie de la route que cela a changé pour le mieux.




Trotzdem passierten wir hier nicht nur einen großen Markt mit allerlei Waren, sondern auch ein originelles Kunstobjekt auch für uns Radfahrer.

Néanmoins, nous avons passé ici non seulement un grand marché avec toutes sortes de marchandises, mais aussi un objet d’art original aussi pour nous les cyclistes.



Natürlich gab es nette Flecken mit tollen Aussichten, vor allem Richtung Montblanc, der heute das Hauptmotiv unserer Fotos abgab.

Bien sûr, il y avait de jolis spots avec de superbes vues, surtout vers le Montblanc, qui a donné aujourd’hui le motif principal de nos photos.



Vielleicht ist das Eigentumsproblem am Seeufer der Grund, dass der Einer-Radweg ständig vom Ufer weg mäandert und fortwährend die am Ufer entlang führende Schnelllstraße und/oder Bahnstrecke Richtung Jura unter- oder überquert. Das bedeutet natürlich viele Höhenmeter, denn vom See weg Richtung Jura steigt es natürlich immer ganz ordentlich an.

Folge ist, dass wir heute so viel Höhenmeter eingesammelt haben, wie an keinem anderen Tag zuvor. Und das für mich Ärgerliche dabei ist, dass es Höhenmeter sind, die bei einer anderen Wegführung nicht hätten sein müssen.

Dazu kam, dass heute für mich wirklich der erste Tag war, an dem ich in meinen Höhenmetermuskeln bei steileren Anstiegen - und davon gabs aus den erwähnten Gründen einige - ziemlich schnell Ermüdungserscheinungen bemerkte.

Bestimmt ist das auch die Ursache, dass wir heute fast am gesamten Tag nicht abwechselnd wie bisher, sondern entsprechend unserer Altersstruktur fuhren: Vornweg war meist unserer kregler Mitfünfziger, der heute so richitg aufblühte. In der Mitte fuhr der Mittsechziger und am Ende der Endsechziger.

Ab dem Kilometer 45 öffnet sich der See und eine Ebene legt sich zwischen das Wasser und das Juragebirge. Von dort an wurde die Strecke angenehmer und flacher. Geöffnete Weinkeller flankierten unseren Weg und luden uns - leider vergeblich - zur Weinprobe ein.

Peut-être le problème de propriété sur le lac est la raison pour laquelle la piste cyclable numéro 1 quitte souvent le bord et méandre constamment loin de la rive et souvent en sous-coupant ou traversant l’autoroute et/ou la trace de la chemin de fer qui mène vers le Jura. Bien sûr, cela signifie beaucoup de mètres d’altitude, parce que du lac loin à Jura il s’élève toujours assez proprement.

En conséquence, nous avons recueilli aujourd’hui autant mètres d’altitude que nous n’avons pas recueilli sur un autre jour avant. Et la chose ennuyeuse pour moi, c’est que ce sont des mètres d’altitude qui n’auraient pas dû être à une autre route.

En outre, pour moi aujourd’hui était vraiment le premier jour où j’ai remarqué quelques signes de fatigue dans mes muscles quand ça a monté plus rapides, et - pour les raisons mentionnées ci-dessus - il y avait assez de ceux-ci.

C’est certainement aussi la raison pour laquelle nous avons conduit aujourd’hui presque toute la journée pas a tour de rôle comme avant, mais selon notre structure d’âge : tout d’abord était surtout nos midfiftie éveillé, qui fleurit aujourd’hui aussi beau. Au milieu le copain midsixtie et à la fin l´homme à la fin des années soixante.
Du kilomètre 45, le lac s’ouvre et la plaine s´installe entre l’eau et les montagnes du Jura. De là, la piste est devenue plus agréable et plus flat. Des caves à vin ouvertes flanquaient notre chemin et nous invitèrent - malheureusement en vain - à la dégustation de vin.





Am Genfer See angekommen tauchten wir mit unseren Rädern unter der Schnellstraße durch und besuchen kurz einen der wenigen öffentlichen Strände. Hinter Stephan leuchtet der Montblanc.

Une fois arrivés au lac Léman, nous avons traversé sous-sol avec nos vélos ll’autoroute et nous avons brièvement visité l’une des rares plages publiques. Derrière Stephan, le Montblanc brille.




Etwas Sightseeing in Genf musste denn doch sein.

Un peu de Sightseeing à Genève était sans alternative.



Hier fahren wir gerade über das Seeende und hier beginnt dann der Abfluß der Rhone, die wir bald auch ein Stück auf dem Weg nach Gémenos begleiten werden.

Ici nous conduisons juste au-dessus la fin du lac ou commence l'écoulement du Rhône, que nous allons bientôt accompagner un peu sur le chemin vers Gémenos.



Und hier sieht man das gleiche von der anderen Seite.

Wichtig ist natürlich auch, dass wir seit heute zu Fünft sind. Denn Georgs Frau, Gerhild, ist mit dem Zug in Genf angekommen und wird uns ab jetzt gemeinsam mit meiner Frau, Gisela, als Backup begleiten.

Und außerdem nächtigen wir heute schon in Frankreich.

Tja, etwas peinlich ist es für ich, die merkwürdigen Windungen unserer obligatorischen Track-Animation gegen Ende zu erklären. Denn aufgrund eines Navigationsfehlerns meinerseits haben wir zwar entgegen unserer Planung mehr als 100 Kilometer gefahren, aber mindestens 8 davon waren eigentlich überflüssig.

Ich gelobe Besserung und zahle morgen eine Männerrunde!

Et voilà vous voyez la même chose de l’autre côté.
Il est également important, bien sûr, que nous soyons cinq personnes depuis aujourd’hui. Parce que la femme de George, Gerhild, est arrivée à Genève en train et à partir de maintenant se joindra à nous comme une sauvegarde en collaboration avec ma femme, Gisela.
Et puis, nous crécherons déjà en France aujourd’hui.
Eh bien, c’est un peu embarrassant pour moi d’expliquer les tours bizarres de notre animation de piste obligatoire vers la fin. Parce qu’en raison d’un échec de navigation de mon part, nous avons roulé plus de 100 kilomètres contrairement à notre planification, mais au moins 8 d’entre eux étaient en fait superflue.
Je jure amélioration et de payer un tour pour équipe demain !



https://www.relive.cc/view/g35324134662

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